2019 : El Sexocidio de la brujas

Barcelone, Incorpore.

Le Sexocide des sorcières en espagnol

Françoise d’Eaubonne a publié Le sexocide des sorcières en 1999, après cinquante ans d’écriture et d’engagement politique, après avoir introduit le mot phallocrate dans la langue française (1971) et introduit le concept d’écoféminisme (1978) (En fait 1974, NDLR.). (Source Incorpore)

A partir du moment où les hommes ont pris le contrôle de la fertilité (par l’agriculture) et de la fécondité (par la reproduction), la terre et les femmes ont été exploitées selon une logique productiviste. Depuis cinq mille ans, le patriarcat est responsable du désastre écologique et de l’asservissement des femmes. La “chasse aux sorcières” est un épisode supplémentaire de cette domination qui, pendant deux siècles, a persécuté et massacré massivement des femmes pour le seul fait qu’elles étaient des femmes et non des sorcières (Source : Incorpore).

Fin de contrat en août 2024 avec cet éditeur.

1980: Feminism or death

Schocken Books, USA

Traduction partielle d’Ynestra King dans New French Feminisms: An Anthology du livre le plus connu de Françoise, Le féminisme ou la mort, dans lequel elle emploie le néologisme écoféminisme pour la première fois.

1980 : Kønskampens historie

Editeur inconnu.

Traduction norvégienne par Merete Aaberg de Les femmes avant le patriarcat, le titre signifiant quelque chose comme L’histoire de la lutte pour l’égalité des sexes selon DeepL.

En créant l’écoféminisme, le génie de Françoise n’aura pas été d’apporter un concept nouveau : il aura été de nous relier avec une réalité immémoriale, celle des cultures pré-patriarcales de notre aire  géographique, que le rationalisme du XVe siècle puis l’humanisme des Lumières auront tenté d’éradiquer dans notre culture occidentale, maintenant à la pointe de la déshumanisation.

Vincent d’Eaubonne, in préface pour l’édition italienne, 2024

1978 : Feminismus und « Terror »

Trikont

Autre traduction allemande, par Regina Weiss du livre le plus connu de Françoise, Le féminisme ou la mort, dans lequel elle emploie le néologisme écoféminisme pour la première fois. Plusieurs rééditions suivront.

Le titre est vraiment très très étrange…