Focus sur l’écoféminisme au Palais de Tokyo, avec cette présentation :
Le mot « écoféminisme » apparaît pour la première fois en 1974 dans l’ouvrage de Françoise d’Eaubonne, Le féminisme ou la mort, dans lequel elle expose la thèse selon laquelle la nature et les femmes sont les deux principales « ressources » exploitées et asservies. Le mot désigne par la suite des pensées et des luttes très diverses en Europe, aux États-Unis et dans le Sud global liées par un dénominateur commun : non pas l’addition des luttes écologique et féministe mais l’imbrication des deux (tout en laissant la possibilité d’en ajouter d’autres).
C’est assez bien posé, pour un condensé en quelques lignes. Un heureux contrepoint aux résumés qui voudraient y voir un soutien au « développement durable » avec une pincée « d’égalité-hommes/femmes » dans un monde en perdition… J’ai beau être patient, il y a des jours ou Amora, la déesse de la moutarde, me monte au nez face au déni et aux pitoyables tentatives de récupération plus ou moins cyniques ou à courte vue, bref… Moment d’humeur que je m’octroie.
Si l’on cherche un peu sur le site du Palais de Tokyo, on y trouvera divers évenements, dans lesquels Myriam Bahaffou à été impliquée deux fois : c’est plutôt un bon signe, non ?




Bonjour,
Je me permet de passer par ce biais pour vous contacter.
Nous voulons mettre en place , une journée consacrée à l’écoféminisme dans notre organisation syndicale.
Êtes vous disponible ce genre de rencontre ?
Je vous ai déjà rencontrer au cours d’une conférence dans ma ville de Lanester
Merci de votre retour