1966 : Les Monstres de l’été

Paris, Julliard, 464 pages.

La deuxième partie des « mémoires précoces » de Françoise débute par ces mots :

« Berlin-Est, 12 mars 1965 (jour de mon anniversaire). – Mon guide veut absolument proposer de donner mon nom à une rue de Berlin-Est. Je n’ai pas mérité “cet excès d’honneur” ; si je l’accepte, c’est que pour la plupart ce sera une “indignité”. »

L’autrice poursuit dans ce texte la rédaction de ses souvenirs de la fin de la Seconde guerre au début des années 60, après un premier volume, Chienne de jeunesse, qui retraçait son parcours de 1930 à 1945. (Alain)