2000 : La Plume et le Bâillon – Violette Leduc, Nicolas Genka, Jean Sénac, trois écrivains victimes de la censure
Paris, L’Esprit Frappeur, 136 pages.
Note en attente de rédaction.
Paris, L’Esprit Frappeur, 136 pages.
Note en attente de rédaction.
Paris, Les Belles Lettres, 192 pages.
Dans cet essai intime, Françoise revient sur sa passion des mots. Non pas par nombrilisme, comme le dit fort justement René de Ceccatty dans une critique littéraire du Monde en 1997, mais pour nous rappeler le mot de Danièlle Sallenave : “Le livre ne remplace rien, mais rien ne remplace le livre”.
La Liseuse et la Lyre est un essai magnifique où Françoise, là encore, touche à l’universel. Mais sur un ton détaché et presque serein que nous lui connaissions peu, nous rappelant combien sa palette était large. (Vincent)
L’analogie de cette passion trop abstraite avec l’envoûtement de la drogue a inspiré à un auteur de l’entre-deux guerres une dénonciation sous ce titre : “Ce vice impuni, la lecture”. Par quoi put-il faire cette mise en garde ? Par un écrit.
Paris, Encre, 366 pages.
Bouleversée par la disparition de Simone de Beauvoir en 1986, Françoise a tenu, dans cet ouvrage, à nous présenter celle dont Le Deuxième Sexe l’avait tant marquée. Sont abordés avec délicatesse l’amitié qui les a unies, l’œuvre littéraire de Beauvoir et son rapport intime à Sartre, ainsi que les quelques désaccords théoriques que les deux autrices ont pu avoir. (Alain)
De L’Indicateur du réseau, partie encore inédite :
C’est au cours de la période mouvementée des divers mouvements “paix en Algérie” (…) que j’entre, pour la première fois, chez Simone de Beauvoir. Je connais et fréquente depuis 1947 l’auteur du Deuxième Sexe, mais je l’ai perdue de vue assez longtemps ; elle racontera nos retrouvailles dans La Force de l’âge.
Paris, André Balland, 230 pages.
Note en attente de rédaction.
Le Terrain Vague, 326 pages.
Note en attente de rédaction.
Paris, Calmann-Lévy, 1962, 158 pages.
Françoise voyait dans Flaubert le premier des écrivains bourgeois (disposant de temps et d’argent) à avoir introduit ce qu’elle considère comme la valeur cardinale de sa classe en littérature : l’investissement dans la durée (time is money).
Si elle n’oublie pas sa misogynie et les pages atroces qu’il a commises contre la Commune de Paris vaincue, elle lui reconnaît le mérite d’avoir consacré son temps à tenter de s’arracher à la pensée médiocre de son époque et de sa classe (qu’il y soit parvenu est une autre histoire, ndlr), et elle le distingue de ses contemporains en ce qu’il était en refus épidermique du monde (contrairement à Sand, Balzac, Stendhal…).
Françoise, flaubertienne ? Certainement pas. Mais elle lui reconnaît des mérites littéraires et le considère comme un intéressant cas d’école. (Vincent)
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