1954 : Une pomme rouge : mon cœur

Paris, Pierre Seghers (coll. Poésie 54 n°374), 15 pages.

Avec pour titre un vers de Nazim Hickmet et dédiés à Henri Lefèbvre, neuf poèmes en trois sections. La première sur l’amour, ses combats et ses souffrances, la deuxième à la mémoire de Julius et Ethel Rosenberg (quatre ans plus tard, Françoise donnera “Julius” comme second prénom à son fils). La dernière section, Trois poèmes pour mon Parti (Françoise est alors membre du PC), contient un long poème à la mémoire de son père pour lui dire ce qu’elle lui doit de son engagement communiste. (Vincent)

1951 : Démons et merveilles

Paris, Pierre Seghers (coll. Poésie 51 n°137), 35 pages.

“Un recueil de poème très court, très hermétique (il me faut constamment chercher des mots et allusions) et très érudit (on en attend pas moins de Françoise d’Eaubonne 🙂 ). De facture classique et traditionnel qui ne m’a pas émerveillé comme d’autre de ses (trop rares) poèmes.
Une lecture qui reste toutefois précieuse de sa rareté, de l’ouvrage et des mots.”

Un lecteur sur le Net

1942 : Colonnes de l’âme

Éditions Lutétia, coll. Itinéraire n°1.

Préface manuscrite de Joë Bousquet. Collection Itinéraires sous la direction de Jacques Aubenque, qui a écrit la postface de ce recueil.

Dix-huit poèmes de Françoise, à 22 ans, répartis en quatre thèmes (Amour, Foi, Songe, Révolte), chacun illustré d’un dessin de l’autrice. (Vincent)