Paris, Julliard, 395 pages.
Plaidant pour une approche qui permettrait de concilier “à la fois le rationnel et l’irrationnel, l’intellect et l’instinct”, Françoise ouvre la voie à une démarche de la complétude où les hiérarchies seraient enfin abolies, pour le bien de l’humanité, et où le plaisir, y compris sexuel, serait honoré pleinement. Et c’est dans la richesse et la profondeur de cette pensée encore en gestation que s’éclaire cet horizon inattendu qu’on appellera l’écoféminisme. (Élise)