1958 : Chevrette et Virginie

Hachette, coll. Bibliothèque verte n°46, 253 pages.

Ce premier roman destiné à la jeunesse est orné d’une couverture dont la lecture pourrait être aujourd’hui beaucoup moins innocente qu’à l’époque. Et c’est bien l’histoire de deux femmes aventurières et naufragées qui nous est contée. On pourra même se hasarder à penser que Françoise se serait bien passée du personnage du Chevalier de La Barre, qui semble être là pour sauver les apparences et préserver la pureté morale de nos chères têtes blondes… Mais ne serait-ce pas anachronisme ou spéculation sur d’éventuelles intentions encore inconscientes chez l’autrice ? (Vincent)

i