En 1980, Françoise publiait dans la revue Sorcières un article écoféministe intitulé La Nature de la crise, dans lequel elle défendait la thèse selon laquelle le « matriarcat » aurait préexisté au patriarcat.
Il ne s’agit […] pas d’une société féminine de type inversé qui aurait précédé le pouvoir masculin, mais d’une société sans « pouvoir » au sens que le patriarcat a donné à ce terme, que j’ai essayé d’analyser dans Les Femmes avant le patriarcat.
Le fac-similé de ce texte est consultable sur notre site, dans la partie Traces de Françoise/Lire/Textes.
Cet article a récemment été traduit en italien par Bruna Bianchi (voir photo) dans la Revue télématique d’études sur la mémoire féminine. Bruna Bianchi est universitaire, écrivaine et traductrice (notamment de Goethe et de Thomas Mann).
Intéressant, merci Alain ! Je note la concomitance de sa traduction et de la mise a disposition publique sur le site de cet article.
Coïncidence ? Elle connait le site. Allez, c’est l’occasion de lui faire un petit mot 🙂