Dans cet article Élise Thiébaut, la grande amie posthume de Françoise, resitue l’écoféminisme dans une perspective radicale, à l’opposé de toutes les récupérations en vogue, et notamment à l’extrême-droite dans les mouvements fémonationalistes (mais pas que).
Elle rappelle, s’il en est besoin, que Françoise était à l’opposé absolu de ces avatars du Pouvoir pour temps de crise, qui préféreront toujours Hitler au Front Populaire.




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