Françoise a quelques avantages à être dématérialisée depuis 2005. N’étant plus impactée par les refroidissements épidémiques ou endémiques, n’ayant plus besoin d’une trésorerie de folie pour voyager, ce qu’elle fait d’ailleurs avec un bilan carbone imbattable, on la voit donc un peu partout.
La première photo a été prise à Toulouse début janvier. La Cie Scoum y jouait Boîte noire, pièce durant laquelle les circassiennes-comédiennes ont écrit sur la scène, à la craie liquide, le nom de personnes inspirantes. Merci Florence B. pour la photo !
La deuxième annonce la projection d’un film à Montréal, que nous n’avons pas en France. C’est notre ami Nicolas, de la librairie L’Euguélionne, qui est à la manoœuvre.
Enfin, il a été question de Françoise le 30 janvier dans une Fresque du Sexisme (sur le modèle des Fresques du Climat), mais aussi durant diverses rencontres à Paris avec Élise Thiébaut. Dans trois heures débute une projection du film de Manon Aubel à Nantes ; il y a sûrement bien d’autres occurences qui se sont produites sans que nous soyons au courant, et c’est très bien comme ça.
Qu’il est dommage que nous ne puissions pas voir ce documentaire en France ! J’enrage !