Caroline a été la première à produire un travail de fond en France après le départ de Françoise. Particulièrement intéressée par ses journaux intimes, elle a disposé des 15 000 pages archivées à l’IMEC (sans compter ce qui a été perdu).

Autrice de Françoise d’Eaubonne et l’écoféminisme aux éditions du Passager Clandestin.