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Comment nous pourrions vivre

Par Vincent

Fils de Françoise, je m'active avec d'autres à faire connaitre sa vie et sa pensée, et à la prolonger dans la mesure de mes moyens.

Mis à jour le 28/06/2022 | Publié le 18/06/2022

C’est le titre du dernier numéro spécial de Socialter, dont Corinne Morel-Darleux est rédac-chef.

Parmi de nombreux articles intéressants, à noter celui de Geneviève Pruvost, qui y évoque  son concept de “féminisme de subsistance” développé dans Quotidien Politique, son excellent livre.

Elle y rappelle l’intérêt du travail du philosophe marxiste Henri Lefebvre, dont Françoise faisait grand cas pour ses analyses largement divergentes de la doxa produite par ce qu’elle appelait le “marsisme vulgaire pensé par des esprits paresseux“.

Elle y rappelle en quoi le féminisme de Françoise se distinguait du courant dominant des années 70 :

La priorité [pour le féminisme majoritaire] c’était que les femmes intègrent le marché du travail – au sens salarié du terme – puis y fassent carrière. Dans ce paysage, Françoise d’Eaubonne fait exception en France, en dénonçant cette illusion, et en la couplant avec l’expoitation des ressources naturelles.

Et elle évoque l’une des causes de l’invisibilisation de son travail :

Mais à ma connaissance elle n’a pas établi de liens intellectuels ou militants avec les écoféministes de l’école de Bielefield. [Effectivement, ndlr.] Cela explique en grande partie pourquoi ce terme de subsistance ne s’est pas imposé en France.

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