J’ai vu, j’ai pleuré, j’ai serré les poings

Par Vincent d'Eaubonne

Fils de Françoise, je m'active avec d'autres à faire connaitre sa vie et sa pensée, et à la prolonger dans la mesure de mes moyens.

Mis à jour le 01/05/2025 | Publié le 28/03/2025

Au « le temps béni des colonnies » (comme on disait à l’époque…) Françoise a 30 ans, elle est en Algérie pour parler de Colette, et se confronte violemment au racisme colonial :

 » La nuit du racisme pèse encore sur le monde. « Le vol sourd du corbeau », amis, l’entendez-vous sur les plaines d’Afrique du Nord ? Quand ouvrirez-vous enfin vos yeux aveugles, complices des assassins ! » écrit-elle dans Droits et Libertés le 24 février 1955.

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