L’Atelier d’écologie politique (Atécopol) « participe, depuis son lancement à l’automne 2018 à Toulouse, à la construction d’une communauté pluridisciplinaire de scientifiques travaillant ou réfléchissant aux multiples aspects liés aux bouleversements écologiques ». Parmi ses activités, Atécopol organise régulièrement des séminaires d’écologie politique.
Le séminaire du 6 avril dernier avait pour thème : « Écoféminismes : la perspective de la subsistance ». À cette occasion, sont intervenues deux sociologues, Veronika Bennholdt-Thomsen, anthropologue sociale, professeure d’université émérite, activiste, autrice de Money or Life: What makes us really rich, et Geneviève Pruvost, sociologue, directrice de recherche à l’EHESS, autrice de Quotidien politique : Féminisme, écologie, subsistance (2022, La Découverte) et de la préface à la réédition de Écologie/féminisme. Révolution ou mutation ? de Françoise d’Eaubonne.
Je ne peux que vous conseiller fortement d’écouter leurs interventions. Un peu de sensibilité, d’intelligence et de clarté, non seulement ça fait beaucoup de bien mais cela ouvre des perspectives à l’interrogation : « Comment vivre désormais ? ».
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